Le rapport de la CEP montre que la mauvaise gestion et le manque de surveillance ont conduit à la chute de Credit Suisse – il faut désormais des règles strictes, des responsabilités claires et plus de capital propre.

Economiser, c’est bien. Investir, c’est mieux, mais c’est aussi plus exigeant, car cela demande du courage et de la clairvoyance.

Ma lettre de lecteur sur l’initiative pour une responsabilité environnementale publiée dans « La Liberté ».

À l’approche du rapport de la Commission d’enquête sur Credit Suisse, rappelons les limites du privilège de création monétaire des banques.

L’UBS profite énormément de la Suisse. Elle devrait refléter cette valeur de manière adéquate dans son modèle commercial.

Ce que demande l’initiative sur la responsabilité environnementale est en fait le mot d’ordre du moment.

L’initiative cantonale sur un salaire minimum est équilibrée et n’exige rien de plus qu’un minimum de décence vis-à-vis de la population qui travaille.

Comment financer la reconstruction de l’Ukraine dévastée, estimée à 2 billions de dollars ? Par ma motion, je demande que les fonds publics russes gelés à l’Ouest, d’un montant de 300 milliards de dollars, soient alloués à l’Ukraine.

Aujourd’hui, il n’existe que le couperet de l’interdiction d’exercer. Il doit être plus facile de sanctionner les cadres bancaires fautifs.

C’est la question à laquelle j’ai tenté de répondre dans mon discours d’ouverture à la conférence Global Entreprise Monitor de cette année.